Wikicommons
Cet ouvrage réunit une sélection d’articles issus du colloque « Le corps dans l’histoire et les histoires du corps » qui a eu lieu à l’université de Montréal en mars 2009. L’objectif de ce recueil est d’initier une réflexion sur les implications théoriques et méthodologiques d’une histoire du corps sous l’Ancien Régime. Si le corps constitue une frontière qui délimite l’intériorité des individus, il permet aussi, comme objet historique, de remettre en question notre manière d’interroger les pratiques anciennes, les modes de représentation des communautés, les particularités exemplaires. C’est donc dans ce double régime historique et historiographique que ce collectif s’est proposé d’aborder cet objet protéiforme et révélateur d’enjeux qui le traversent tout en le définissant. Qu’il soit l’objet d’une instrumentalisation trahissant des intérêts politiques sous-jacents, l’enjeu de « seuils de sensibilité » dont il est le révélateur, qu’il soit le pivot entre deux périodes historiques ou entre une matérialité physique et son idéalisation, le corps d’Ancien Régime apparaît comme un seuil, autant dans les représentations de l’époque que dans la manière dont les historiens tentent de le circonscrire et de l’étudier.
Ce collectif est précédé d’entretiens avec Georges Vigarello (ÉHESS) dans lesquels cet éminent spécialiste soulève de nombreux problèmes historiographiques auxquels tout historien travaillant à la question du corps est confronté.
Table des matières :
Introduction : méthodes et objets en histoire du corps
Entretiens avec Georges Vigarello
I : Rhétoriques, avec les contributions de Stéphanie Chaffray, Christophe Régina et Antoine Roullet.
II : Sensibilités, avec les contributions de Benoîte Legeais, Ophir Levy, Julia Peker et Olivier Maldent.
III : Disciplines, avec les contributions de Marie Demeilliez et Arnaud Guiner.
IV : Idéalisations, avec les contributions de Françoise Dartois-Lapeyre et Céline Drèze
218 pages – 15 x 23 cm – 2013
ouvrage
Source: ACRAS
Ce collectif est précédé d’entretiens avec Georges Vigarello (ÉHESS) dans lesquels cet éminent spécialiste soulève de nombreux problèmes historiographiques auxquels tout historien travaillant à la question du corps est confronté.
Table des matières :
Introduction : méthodes et objets en histoire du corps
Entretiens avec Georges Vigarello
I : Rhétoriques, avec les contributions de Stéphanie Chaffray, Christophe Régina et Antoine Roullet.
II : Sensibilités, avec les contributions de Benoîte Legeais, Ophir Levy, Julia Peker et Olivier Maldent.
III : Disciplines, avec les contributions de Marie Demeilliez et Arnaud Guiner.
IV : Idéalisations, avec les contributions de Françoise Dartois-Lapeyre et Céline Drèze
218 pages – 15 x 23 cm – 2013
ouvrage
Source: ACRAS