Dictionnaire Eugène Ionesco
Sous la direction de Jeanyves Guérin
Paris, Honoré Champion, août 2012, 712 p.
Présentation de l'éditeur :
Rédigé par une équipe de spécialistes, cet ouvrage aborde toute l’œuvre d’Eugène Ionesco, une œuvre qui s’est déployée en roumain puis en français. Si la part belle est faite à ses pièces, ses autres écrits, récits, essais, qui sont moins connus, ne sont pas oubliés. Le dramaturge joué dans le monde entier fut aussi un citoyen.
Paris, Honoré Champion, août 2012, 712 p.
Présentation de l'éditeur :
Rédigé par une équipe de spécialistes, cet ouvrage aborde toute l’œuvre d’Eugène Ionesco, une œuvre qui s’est déployée en roumain puis en français. Si la part belle est faite à ses pièces, ses autres écrits, récits, essais, qui sont moins connus, ne sont pas oubliés. Le dramaturge joué dans le monde entier fut aussi un citoyen.
La Légende de Don Juan - Son évolution dans la littérature, des origines au Romantisme
Georges Gendarme de Bévotte
Réimpression de l'édition de Paris, 1906
Genève, Slatkine Reprints, sept. 2012, 574 p.
Réimpression de l'édition de Paris, 1906
Genève, Slatkine Reprints, sept. 2012, 574 p.
Les deux "André del Sarto" d'Alfred de Musset
Edition critique, réimpression de l'édition de Paris, 1936
Genève, Slatkine Reprints, juillet 2012, 210 p.
Genève, Slatkine Reprints, juillet 2012, 210 p.
Écritures théâtrales du traumatisme - Esthétiques de la résistance
Christiane Page (dir.), Rennes, PUR, 2012.
Présentation :
Tout au long du xxe siècle, et notamment depuis les deux premières Guerres Mondiales, la question du traumatisme est devenue objet de réflexion et de discours, objet d’art pourrait-on ajouter, ou du moins source de création. Les artistes contemporains, tous champs confondus, la mettent au centre de leurs recherches et de leurs œuvres, inlassablement. Leur acte est une tentative de transformer un réel insupportable en expérience à partager ou à transmettre.
Les écritures contemporaines du traumatisme s’inscrivent dans une quête difficile, questionnant l’idée d’une « évolution » continue, d’un progrès de l’espèce humaine, car la barbarie régulièrement fait retour provoquant un effet de choc inassimilable. De ce traumatisme prenant des formes différentes mais pouvant se lire comme des répétitions de l’histoire, qu’est-ce qui peut se transmettre ? L’acte artistique, l’écriture théâtrale ont-ils un pouvoir, et lequel ?
L’ouvrage montre la diversité des réponses et des approches. La première partie « De l’écriture théâtrale du traumatisme à une esthétique de la résistance » est consacrée à Charlotte Delbo, qui a choisi de faire œuvre littéraire en réponse à la barbarie. La deuxième, « La barbarie : avenir de l’humanité ? Une esthétique du cri ou du silence ? », étudie la problématique de l’écriture théâtrale du traumatisme à partir du répertoire international, de manière transhistorique et transdisciplinaire, en privilégiant les expériences et écritures de femmes.
Pour aborder ces questions, le projet de cet ouvrage a été de solliciter, non seulement des chercheurs en études théâtrales, langue ou ethnologie mais aussi des chercheurs orientés par la psychanalyse dont on connaît la relation étroite avec le théâtre.
Direction de l’ouvrage : Christiane Page, Professeur en études théâtrales à l'université Rennes 2, fait partie du laboratoire théâtre et du groupe de recherche interdisciplinaire (Arts et psychanalyse) KAIROS (équipes 3208 - Arts : pratiques et poétiques et 4050 - Recherches en psychopathologie : nouveaux symptômes et lien social). Elle travaille sur les rapports « Théâtre/histoire/société » : Théâtre et déportation (Charlotte Delbo, Irme Kertesz) ; Théâtre et idéologie (Léon Chancerel) ; Théâtre et psychanalyse.
Sommaire
- Chap 1 : Christiane Page, Introduction
Première partie
« Charlotte Delbo, femme de théâtre et résistante »,
- Chap 2 : Marianne Closson, « Qui rapportera ces paroles ? de Charlotte Delbo: Le théâtre peut-il « re-présenter » Auschwitz ? »
- Chap 3 : Christiane Page, « Écriture et répétition de la scène traumatique dans l’œuvre de Charlotte Delbo »
- Chap 4 : Sophie Lucet, « Survivre dans le refuge des sensations discrètes. Le théâtre de la mémoire dans les écrits de Charlotte Delbo »
- Chap 5 : Françoise Heulot-Petit, « Le Monologue théâtral face au dédoublement de la mémoire dans Une scène jouée dans la mémoire, Les Hommes et Qui rapportera ces paroles ? de Charlotte Delbo »
- Chap 6 : Magali Chiappone-Lucchesi, « L’Intrusion de Giraudoux dans l’écriture de Charlotte Delbo »
- Chap 7 : Claudine Riera-Collet, « Souvenirs du travail d’écriture de Charlotte Delbo »
- Chap 8 : Carolina Koretzky, « Le Trauma dans l’autre scène : rêves concentrationnaires et post-concentrationnaires »
Deuxième partie
« La barbarie : Avenir de l’humanité ? Une esthétique du cri ou du silence ? »
- Chap 9 : Cécile Vaissié, « Le Vertige, au Sovremennik de Moscou : des femmes face à la violence étatique en Russie »
- Chap 10 : Dr. Klaas Tindemans, « 'The Cruellest Month' : la représentation théâtrale de la cruauté, de la Saint-Barthélemy, 1572, au Rwanda, 1994 »
- Chap 11 : Mireille Losco-Lena, « Sarabandes autour du traumatisme : Le théâtre de l’ex-Yougoslavie et la guerre »
- Chap 12 : Delphine Lemonnier-Texier, « Dire et ne pas dire : la dramaturgie du traumatisme dans Sept Enfants juifs de Caryl Churchill »
- Chap 13 : Hélène Lecossois, « L’Écriture du traumatisme de Debbie Tucker Green ou la mise en jeu de la répétition »
- Chap 14 : Aline Venneman, « 'L’histoire ne peut pas mourir' ou la hantise de l’austrofascisme dans le théâtre d’Elfriede Jelinek »
- Chap 15 : Antonia Amo Santos, « Le Théâtre d’Angélica Liddell : ‘les blessures engendrent la vérité’ »
- Chap 16 : Marie Windels, « Traumatisme et vérité. L’art corporel selon Gina Pane »
- Chap 17 : Jeanne Legallic, « Représentation, mémoration et légitimation : le témoignage de l’immigration en jeu »
- Chap 18 : Barbara Leblanc-Normand Godin, « La Déportation acadienne de 1755. Dramatisation du traumatisme dans Évangéline, drame musical »
Présentation :
Tout au long du xxe siècle, et notamment depuis les deux premières Guerres Mondiales, la question du traumatisme est devenue objet de réflexion et de discours, objet d’art pourrait-on ajouter, ou du moins source de création. Les artistes contemporains, tous champs confondus, la mettent au centre de leurs recherches et de leurs œuvres, inlassablement. Leur acte est une tentative de transformer un réel insupportable en expérience à partager ou à transmettre.
Les écritures contemporaines du traumatisme s’inscrivent dans une quête difficile, questionnant l’idée d’une « évolution » continue, d’un progrès de l’espèce humaine, car la barbarie régulièrement fait retour provoquant un effet de choc inassimilable. De ce traumatisme prenant des formes différentes mais pouvant se lire comme des répétitions de l’histoire, qu’est-ce qui peut se transmettre ? L’acte artistique, l’écriture théâtrale ont-ils un pouvoir, et lequel ?
L’ouvrage montre la diversité des réponses et des approches. La première partie « De l’écriture théâtrale du traumatisme à une esthétique de la résistance » est consacrée à Charlotte Delbo, qui a choisi de faire œuvre littéraire en réponse à la barbarie. La deuxième, « La barbarie : avenir de l’humanité ? Une esthétique du cri ou du silence ? », étudie la problématique de l’écriture théâtrale du traumatisme à partir du répertoire international, de manière transhistorique et transdisciplinaire, en privilégiant les expériences et écritures de femmes.
Pour aborder ces questions, le projet de cet ouvrage a été de solliciter, non seulement des chercheurs en études théâtrales, langue ou ethnologie mais aussi des chercheurs orientés par la psychanalyse dont on connaît la relation étroite avec le théâtre.
Direction de l’ouvrage : Christiane Page, Professeur en études théâtrales à l'université Rennes 2, fait partie du laboratoire théâtre et du groupe de recherche interdisciplinaire (Arts et psychanalyse) KAIROS (équipes 3208 - Arts : pratiques et poétiques et 4050 - Recherches en psychopathologie : nouveaux symptômes et lien social). Elle travaille sur les rapports « Théâtre/histoire/société » : Théâtre et déportation (Charlotte Delbo, Irme Kertesz) ; Théâtre et idéologie (Léon Chancerel) ; Théâtre et psychanalyse.
Sommaire
- Chap 1 : Christiane Page, Introduction
Première partie
« Charlotte Delbo, femme de théâtre et résistante »,
- Chap 2 : Marianne Closson, « Qui rapportera ces paroles ? de Charlotte Delbo: Le théâtre peut-il « re-présenter » Auschwitz ? »
- Chap 3 : Christiane Page, « Écriture et répétition de la scène traumatique dans l’œuvre de Charlotte Delbo »
- Chap 4 : Sophie Lucet, « Survivre dans le refuge des sensations discrètes. Le théâtre de la mémoire dans les écrits de Charlotte Delbo »
- Chap 5 : Françoise Heulot-Petit, « Le Monologue théâtral face au dédoublement de la mémoire dans Une scène jouée dans la mémoire, Les Hommes et Qui rapportera ces paroles ? de Charlotte Delbo »
- Chap 6 : Magali Chiappone-Lucchesi, « L’Intrusion de Giraudoux dans l’écriture de Charlotte Delbo »
- Chap 7 : Claudine Riera-Collet, « Souvenirs du travail d’écriture de Charlotte Delbo »
- Chap 8 : Carolina Koretzky, « Le Trauma dans l’autre scène : rêves concentrationnaires et post-concentrationnaires »
Deuxième partie
« La barbarie : Avenir de l’humanité ? Une esthétique du cri ou du silence ? »
- Chap 9 : Cécile Vaissié, « Le Vertige, au Sovremennik de Moscou : des femmes face à la violence étatique en Russie »
- Chap 10 : Dr. Klaas Tindemans, « 'The Cruellest Month' : la représentation théâtrale de la cruauté, de la Saint-Barthélemy, 1572, au Rwanda, 1994 »
- Chap 11 : Mireille Losco-Lena, « Sarabandes autour du traumatisme : Le théâtre de l’ex-Yougoslavie et la guerre »
- Chap 12 : Delphine Lemonnier-Texier, « Dire et ne pas dire : la dramaturgie du traumatisme dans Sept Enfants juifs de Caryl Churchill »
- Chap 13 : Hélène Lecossois, « L’Écriture du traumatisme de Debbie Tucker Green ou la mise en jeu de la répétition »
- Chap 14 : Aline Venneman, « 'L’histoire ne peut pas mourir' ou la hantise de l’austrofascisme dans le théâtre d’Elfriede Jelinek »
- Chap 15 : Antonia Amo Santos, « Le Théâtre d’Angélica Liddell : ‘les blessures engendrent la vérité’ »
- Chap 16 : Marie Windels, « Traumatisme et vérité. L’art corporel selon Gina Pane »
- Chap 17 : Jeanne Legallic, « Représentation, mémoration et légitimation : le témoignage de l’immigration en jeu »
- Chap 18 : Barbara Leblanc-Normand Godin, « La Déportation acadienne de 1755. Dramatisation du traumatisme dans Évangéline, drame musical »
Théâtre et imaginaire Images scéniques et représentations mentales (XVI-XVIIIe s.)
Véronique Lochert et Jean de Guardia (sous la dir.), Dijon, EUD, 2012
PRIX : 22.00€ 280 p. Format : 15 x 23 cm.
ISBN 978-2-36441-027-5 ISSN 1630-0858 Code SODIS F 398262
En étudiant les rapports entre théâtre et imaginaire, cet ouvrage propose d’interroger la nature complexe de l’image théâtrale. Le genre dramatique se caractérise en effet par la production d’images de natures diverses : textuelle et scénique, mentale et matérielle. L’imaginaire de l’auteur et/ou du metteur en scène s’incarne concrètement sous les yeux du spectateur ou vient stimuler l’imagination et la mémoire du lecteur. Ces échanges incessants entre images matérielles et images mentales sont considérés à une période déterminante de l’histoire du théâtre, celle qui s’étend de la Renaissance aux Lumières et correspond à un véritable âge d’or de l’art dramatique européen. L’ouvrage étudie la nature et la transformation des images suscitées par le théâtre depuis le XVIe siècle italien jusqu’au XVIIIe siècle français. Il aborde l’image théâtrale à travers la théorie dramatique, les pratiques de la représentation et de la lecture, mais aussi en la confrontant aux arts visuels (peinture, gravure) et aux techniques de visualisation mentale, comme l’art de la mémoire et la méditation religieuse.
Table des matières
Jean de Guardia et Véronique Lochert, Introduction
Première partie : Théories de l’image théâtrale
Enrica Zanin, « Image et vraisemblance dans la tragédie des xvie et xviie siècles : le cas d’Iphigénie »
Michał Bajer, « La théorie du spectacle chez Hédelin d’Aubignac »
Carine Barbafieri, « Éloge de l’imagination : de la sensualité des images de théâtre dans la France classique »
Gilles Declercq, « La mémoire de l’image : l’allégorie racinienne entre littérarité et théâtralité »
Stella Spriet, « La puissance d’une métaphore : la re-présentation des classiques par Daniel Mesguich »
Amélie Tissoires, « La réflexion théâtrale de Jean-Jacques Rousseau : de l’imagination sur scène à la construction d’une scène imaginaire »
Deuxième partie : Des yeux du corps aux yeux de l’esprit
Diane Robin, « L’imaginaire théâtral selon les arts de mémoire italiens au xvie siècle »
Clotilde Thouret, « Le piège dans la pièce : intelligence rusée et imaginaire théâtral (Machiavel, Jonson, Middleton) »
Sarah di Bella, « Le rôle de l’imaginaire mystique dans la dramaturgie jésuite de la Sicile espagnole »
Emmanuelle Hénin, « Le rideau de théâtre, prélude et substitut au spectacle scénique »
Anne Surgers, « Allégories et emblèmes incarnés : une lecture des frontispices de Chauveau-Brissart pour les éditions des pièces de Molière (1663-1682) »
Véronique Lochert, « “Le lecteur imaginatif” face au texte dramatique : l’apport des didascalies et des illustrations à la lecture du théâtre »
Ève-Marie Rollinat-Levasseur, « L’imaginaire du lecteur de théâtre : entre divagation, impression et expression personnelle »
Troisième partie : L’entrée en scène de l’imaginaire
Pierre Frantz, « L’effraction imaginaire du théâtre »
Sophie Marchand, « Un théâtre de l’effraction : images scéniques et imaginaire du spectateur dans Les Victimes cloîtrées de Monvel (1791) »
France Marchal, « “Ce coup de théâtre est d’une beauté frappante” : quand La Harpe jugeait La Noue, Saurin et Lemierre, ou l’histoire d’un poignard malséant sur la scène du xviiie siècle »
François Lecercle, « “Je vois ce qui n’existe pas” : la naissance d’une théorie médicale de l’hallucination et ses effets théâtraux »
Laurence Marie, « Les premières adaptations de Shakespeare à la Comédie-Française : expérimentations sur les limites du théâtre visuel mimétique »
Frédérique Toudoire-Surlapierre, Postface : « Un peu d’imaginaire pour voir »
PRIX : 22.00€ 280 p. Format : 15 x 23 cm.
ISBN 978-2-36441-027-5 ISSN 1630-0858 Code SODIS F 398262
En étudiant les rapports entre théâtre et imaginaire, cet ouvrage propose d’interroger la nature complexe de l’image théâtrale. Le genre dramatique se caractérise en effet par la production d’images de natures diverses : textuelle et scénique, mentale et matérielle. L’imaginaire de l’auteur et/ou du metteur en scène s’incarne concrètement sous les yeux du spectateur ou vient stimuler l’imagination et la mémoire du lecteur. Ces échanges incessants entre images matérielles et images mentales sont considérés à une période déterminante de l’histoire du théâtre, celle qui s’étend de la Renaissance aux Lumières et correspond à un véritable âge d’or de l’art dramatique européen. L’ouvrage étudie la nature et la transformation des images suscitées par le théâtre depuis le XVIe siècle italien jusqu’au XVIIIe siècle français. Il aborde l’image théâtrale à travers la théorie dramatique, les pratiques de la représentation et de la lecture, mais aussi en la confrontant aux arts visuels (peinture, gravure) et aux techniques de visualisation mentale, comme l’art de la mémoire et la méditation religieuse.
Table des matières
Jean de Guardia et Véronique Lochert, Introduction
Première partie : Théories de l’image théâtrale
Enrica Zanin, « Image et vraisemblance dans la tragédie des xvie et xviie siècles : le cas d’Iphigénie »
Michał Bajer, « La théorie du spectacle chez Hédelin d’Aubignac »
Carine Barbafieri, « Éloge de l’imagination : de la sensualité des images de théâtre dans la France classique »
Gilles Declercq, « La mémoire de l’image : l’allégorie racinienne entre littérarité et théâtralité »
Stella Spriet, « La puissance d’une métaphore : la re-présentation des classiques par Daniel Mesguich »
Amélie Tissoires, « La réflexion théâtrale de Jean-Jacques Rousseau : de l’imagination sur scène à la construction d’une scène imaginaire »
Deuxième partie : Des yeux du corps aux yeux de l’esprit
Diane Robin, « L’imaginaire théâtral selon les arts de mémoire italiens au xvie siècle »
Clotilde Thouret, « Le piège dans la pièce : intelligence rusée et imaginaire théâtral (Machiavel, Jonson, Middleton) »
Sarah di Bella, « Le rôle de l’imaginaire mystique dans la dramaturgie jésuite de la Sicile espagnole »
Emmanuelle Hénin, « Le rideau de théâtre, prélude et substitut au spectacle scénique »
Anne Surgers, « Allégories et emblèmes incarnés : une lecture des frontispices de Chauveau-Brissart pour les éditions des pièces de Molière (1663-1682) »
Véronique Lochert, « “Le lecteur imaginatif” face au texte dramatique : l’apport des didascalies et des illustrations à la lecture du théâtre »
Ève-Marie Rollinat-Levasseur, « L’imaginaire du lecteur de théâtre : entre divagation, impression et expression personnelle »
Troisième partie : L’entrée en scène de l’imaginaire
Pierre Frantz, « L’effraction imaginaire du théâtre »
Sophie Marchand, « Un théâtre de l’effraction : images scéniques et imaginaire du spectateur dans Les Victimes cloîtrées de Monvel (1791) »
France Marchal, « “Ce coup de théâtre est d’une beauté frappante” : quand La Harpe jugeait La Noue, Saurin et Lemierre, ou l’histoire d’un poignard malséant sur la scène du xviiie siècle »
François Lecercle, « “Je vois ce qui n’existe pas” : la naissance d’une théorie médicale de l’hallucination et ses effets théâtraux »
Laurence Marie, « Les premières adaptations de Shakespeare à la Comédie-Française : expérimentations sur les limites du théâtre visuel mimétique »
Frédérique Toudoire-Surlapierre, Postface : « Un peu d’imaginaire pour voir »