(c) Acras. De gauche à droite: Buford Norman, Laura Naudeix, Bertrand Porot, Eugenia Roucher, Virginie Garandeau, Nathalie Lecomte et Rebecca Harris-Warrick
Quand et comment a été fondée l’ACRAS ?
Jean-Noël Laurenti (JNL): L’ACRAS prétend renouer avec une démarche qui avait été mise en œuvre dans les années 1970-1980 par Philippe Beaussant et son Institut de Musique et de Danses Anciennes : favoriser les recherches dans ces arts connexes que sont la musique, la danse et le théâtre à l’époque baroque (il faudrait ajouter les costumes, la scénographie et les éclairages). Ces années ont constitué une période de découvertes enthousiasmantes, où des praticiens qui étaient aussi chercheurs étaient invités, échangeaient et collaboraient et où de jeunes artistes se formaient en travaillant avec eux. Or par la suite, à partir de l’année Rameau en 1983, puis de l’année Lully en 1987, le baroque est devenu une industrie du spectacle, où l’esprit de recherche critique a laissé place à l’académisme : les jeunes artistes ont désormais été formés, parfois en quelques mois, dans un moule qui permet d’interpréter uniformément (pour exagérer à peine) le répertoire de 1630 comme celui de 1760. La chose était particulièrement dommageable dans le domaine de la danse et du jeu du comédien, où les recherches étaient beaucoup plus récentes que dans celui de la musique, et où leurs résultats risquaient de s’abâtardir alors même que beaucoup de documents dont on connaissait l’existence n’avaient pas encore été étudiés. Et quand une pratique ronronne, on s’en lasse : dans ce domaine la recherche est une source de renouvellement irremplaçable. En 2000, quand j’ai eu soutenu ma thèse, j’avais écrit une sorte de billet d’humeur de sept pages à ce sujet. Francine Lancelot, à qui je l’avais envoyé, m’a aussitôt engagé à constituer une association : elle était elle aussi désolée de la stagnation de la recherche. Elle a dépensé l’énergie et les quelques mois de vie qui lui restaient pour mettre en relation tous ceux qui voulaient lui donner un nouveau départ. Et nous avons donc fondé cette association, il y a juste dix ans. Depuis nous avons été inscrits au répertoire français des sociétés savantes.
Quels sont les membres du bureau et quels rôles jouent-ils dans le fonctionnement de l’association ?
JNL: Notre secrétaire est Laura Naudeix, fidèlement au poste depuis dix ans, qui s’occupe particulièrement d’une liste de diffusion électronique appréciée : nous recueillons et diffusons les annonces de spectacles, stages et cours, colloques, soutenances de thèses, parutions, etc. en rapport avec les domaines qui nous occupent. Notre trésorière, Marie-Thérèse Mourey, a succédé à Birgit Grenat, décédée il y a deux ans, qui avait été une des premières chanteuses des Arts florissants. Le bureau comporte en outre deux membres, Virginie Garandeau, professeur d’histoire de la danse au CNSMDP et Rebecca Harris-Warrick, professeur de musicologie à Cornell University. Comme nous sommes une association internationale, nous tenons à ce que le bureau ne soit pas constitué uniquement de Français et nous collaborons le plus possible, et avec beaucoup de plaisir, avec nos amis américains et anglo-saxons en général.
Mais en fait je préfère que nous prenions les décisions en accord avec le conseil d’administration (qui comporte également des artistes, des chercheurs et des universitaires français ou étrangers). Une liste électronique nous permet de délibérer rapidement.
Outre cela, nous avons un conseil scientifique, auquel nous soumettons régulièrement nos projets et qui jusqu’à présent n’a jamais émis de critiques. Ce conseil scientifique est composé de chercheurs réputés, français ou étrangers, dans le domaine du théâtre, de la danse, de la musique, de la linguistique ou de l’histoire de l’art.
Mais en fait je préfère que nous prenions les décisions en accord avec le conseil d’administration (qui comporte également des artistes, des chercheurs et des universitaires français ou étrangers). Une liste électronique nous permet de délibérer rapidement.
Outre cela, nous avons un conseil scientifique, auquel nous soumettons régulièrement nos projets et qui jusqu’à présent n’a jamais émis de critiques. Ce conseil scientifique est composé de chercheurs réputés, français ou étrangers, dans le domaine du théâtre, de la danse, de la musique, de la linguistique ou de l’histoire de l’art.
Quel est l’objectif de l’association ?
JNL: Nos statuts portent ceci : « encourager la recherche, la diffusion et la formation en vue de la restitution des pratiques scéniques en usage en France aux XVIIe et XVIIIe siècles ; dans ce but, elle (l’association) se réserver la possibilité de prendre également en considération les pratiques en usage dans d’autres pays à des époques différentes. »
Dans la réalité, beaucoup de nos activités portent sur la danse, mais non pas exclusivement et ce n’est pas du tout un principe : cela tient sans doute au fait qu’il reste beaucoup à faire pour la danse et que c’est dans ce domaine que surgissent le plus de projets. Mais il reste aussi beaucoup à faire pour la déclamation, par exemple.
Dans la réalité, beaucoup de nos activités portent sur la danse, mais non pas exclusivement et ce n’est pas du tout un principe : cela tient sans doute au fait qu’il reste beaucoup à faire pour la danse et que c’est dans ce domaine que surgissent le plus de projets. Mais il reste aussi beaucoup à faire pour la déclamation, par exemple.
Quels sont les moyens ou soutiens financiers dont dispose l’association ?
JNL: Jusqu’à présent, notre seule subvention a été celle que le ministère de la culture nous a partiellement versée pour la réalisation de notre programme de recherche sur les traités allemands. Pour le reste, nos ressources sont celles qui résultent des cotisations et des ventes de publications. Parmi nos cotisants, nous comptons des personnes morales. Ce peuvent être par exemple des compagnies de danse ; nous faisons également un échange d’adhésion avec l’Association des Chercheurs en danse. Pour ce qui est de nos publications, nous essayons d’en fixer le prix au plus bas, pour permettre aux individus (et non pas seulement aux institutions), artistes, étudiants, chercheurs, d’accéder aux résultats de nos travaux pour des sommes modiques. Malgré cela nos ventes de publications sont bénéficiaires, sans que nous roulions sur l’or.
Nous avons aussi bénéficié d’un legs, celui de la section française de l’Association Européenne des Historiens de la Danse, qui s’est dissoute en 2007 et nous a reversé ses fonds. Nous avons été très sensibles à cette confiance que l’AEHD nous manifestait et nous utilisons ces fonds comme avance sur des recettes à venir, en veillant toujours à ce qu’il s’agisse d’activités de recherche en vue de publications.
Enfin, depuis le début nous avons réalisé beaucoup de projets importants sans avoir à financer beaucoup par nous-mêmes (nous n’en avions pas les moyens), parce que des partenaires prestigieux acceptaient de nous accueillir et d’apporter eux-mêmes des financements. Ainsi depuis notre création le Centre National de la Danse nous fait souvent l’amitié d’être partenaire pour divers projets, notamment en nous accordant une aide logistique, et nous le comptons parmi nos adhérents institutionnels. Nous avons également entretenu un partenariat suivi avec le festival de Nantes Le Printemps des Arts et nous avons eu l’honneur de pouvoir organiser certains colloques avec le soutien du Centre de Recherche du Château de Versailles. Là encore, nous y voyons la preuve que notre sérieux est reconnu, sans commune mesure avec nos moyens financiers.
Nous avons aussi bénéficié d’un legs, celui de la section française de l’Association Européenne des Historiens de la Danse, qui s’est dissoute en 2007 et nous a reversé ses fonds. Nous avons été très sensibles à cette confiance que l’AEHD nous manifestait et nous utilisons ces fonds comme avance sur des recettes à venir, en veillant toujours à ce qu’il s’agisse d’activités de recherche en vue de publications.
Enfin, depuis le début nous avons réalisé beaucoup de projets importants sans avoir à financer beaucoup par nous-mêmes (nous n’en avions pas les moyens), parce que des partenaires prestigieux acceptaient de nous accueillir et d’apporter eux-mêmes des financements. Ainsi depuis notre création le Centre National de la Danse nous fait souvent l’amitié d’être partenaire pour divers projets, notamment en nous accordant une aide logistique, et nous le comptons parmi nos adhérents institutionnels. Nous avons également entretenu un partenariat suivi avec le festival de Nantes Le Printemps des Arts et nous avons eu l’honneur de pouvoir organiser certains colloques avec le soutien du Centre de Recherche du Château de Versailles. Là encore, nous y voyons la preuve que notre sérieux est reconnu, sans commune mesure avec nos moyens financiers.
Quelles ont été les principales réalisations de l’association et quelles collaborations ont-elles été développées ces dernières années ?
JNL: Si je m’en tiens à nos activités les plus récentes, outre le programme de recherche sur les traités de danse allemands, dont les résultats sont attendus avec impatience, nous avons organisé en 2008 un colloque intitulé Restitution et création dans la remise en spectacle des œuvres des XVIIe et XVIIIe siècles, colloque de méthodologie par conséquent, consacré aux buts que nous poursuivons et aux méthodes à mettre en œuvre. Mais aux projets de prestige nous préférons en général des projets plus ciblés et réalistes. Dans le domaine des sessions de recherche, nous avons inventé la formule de l’« atelier-rencontre », sorte de petit colloque comportant des communications théoriques alliées à des ateliers d’expérimentation où des praticiens, en général chercheurs, viennent faire travailler des participants « cobayes » et échangent avec d’autres chercheurs et d’autres praticiens. Tout cela donne matière à des actes, publiés dans notre collection intitulée Annales de l’Association pour un Centre de Recherche, etc. Il nous arrive aussi de collaborer à des journées d’étude plus classiques, comme celle que j’ai organisée en 2008 sur Bacilly et les Remarques curieuses sur l’art de bien chanter au Centre d’Études Supérieures de la Renaissance de Tours (dont je fais partie en tant que chercheur), dans laquelle l’ACRAS était partenaire.
Enfin, nous avons une collection intitulée « Bibliothèque de l’Association pour un Centre de Recherche, etc. » dans laquelle nous publions en fac-similé des ouvrages difficiles d’accès, toujours pour un prix modique. Pour trouver les originaux que nous reproduisons, nous cherchons des partenaires parmi les bibliothèques qui nous permettent autant que possible de les reproduire sans nous faire payer des droits d’usage public exorbitants, ce qui exclut, disons-le franchement, toute collaboration avec la BNF ou la British Library. Ainsi, nous avons pu éditer le livre rare et inestimable de Jean Hindret L’Art de prononcer parfaitement la langue françoise, de 1696, grâce à la Bibliothèque Cantonale Universitaire de Lausanne, ou bien L’Arte de’ Cenni de Bonifacio (un traité de gestes d’inspiration humaniste, qui se veut exhaustif, du début XVIIe) grâce aux conditions consenties par la Bibliothèque Marcienne de Venise.
Enfin, nous avons une collection intitulée « Bibliothèque de l’Association pour un Centre de Recherche, etc. » dans laquelle nous publions en fac-similé des ouvrages difficiles d’accès, toujours pour un prix modique. Pour trouver les originaux que nous reproduisons, nous cherchons des partenaires parmi les bibliothèques qui nous permettent autant que possible de les reproduire sans nous faire payer des droits d’usage public exorbitants, ce qui exclut, disons-le franchement, toute collaboration avec la BNF ou la British Library. Ainsi, nous avons pu éditer le livre rare et inestimable de Jean Hindret L’Art de prononcer parfaitement la langue françoise, de 1696, grâce à la Bibliothèque Cantonale Universitaire de Lausanne, ou bien L’Arte de’ Cenni de Bonifacio (un traité de gestes d’inspiration humaniste, qui se veut exhaustif, du début XVIIe) grâce aux conditions consenties par la Bibliothèque Marcienne de Venise.
Quel est l’événement qui, selon vous, a été le plus réussi ou le plus porteur ?
JNL: Il est certain que notre colloque Restitution de 2008 a été très apprécié et a consolidé notre image. Mais à mon gré il y a de petits événements qui constituent à eux seuls de grandes réussites. Par exemple, en 2004, au cours un d’un de nos premiers ateliers-rencontres à Nantes consacré aux chaconnes d’Arlequin conservées en notation Feuillet, nous avons assisté à la rencontre entre une praticienne de la commedia dell’arte et un danseur qui exécutait la chaconne du Bourgeois gentilhomme chorégraphiée par Pierre de La Montagne (Pierre de La Montagne connut de près le grand Dominique Biancolelli, qui dansait cette chaconne lors de la création en 1670, et il fut ensuite chorégraphe de la Comédie-française). Le problème était : comment rendre vie à une chorégraphie sur papier, que nous savions très proche de la source originelle, mais qui ne restait qu’un document papier. Le danseur avait déjà beaucoup travaillé dans ce sens. Mais les conseils de la spécialiste de la commedia dell’arte ont apporté la touche qui rendait l’ensemble convaincant. Bien sûr, personne ne pouvait prétendre que nous arrivions à une reconstitution archéologique exacte, l’unique possible, mais nous arrivions à un possible qui se tenait, et nous nous tenions un exemple de ce que peut produire la collaboration pluridisciplinaire des chercheurs et des artistes.
Quels sont les nouveaux projets de l’ACRAS ?
JNL: Beaucoup sont à peine esquissés et il serait vain de fournir des précisions à leur sujet. Mais nous coorganisons à Nantes, encore une fois, les 16 et 17 mai prochains, en partenariat avec le Musée des Beaux-Arts, l’Institut National d’Histoire de l’Art et Le Printemps des Arts, un colloque sur l’influence réciproque de la mise en scène et de la peinture dans la première moitié du XVIIIe siècle : Le Tableau et la Scène, Peinture et mise en scène du répertoire héroïque dans la première moitié du XVIIIe siècle, Autour des figures des Coypel. Pour nous, il s’agit de voir dans quelle mesure on peut s’inspirer des tableaux pour la reconstitution de scénographies de théâtre, ou du jeu de l’acteur, ou de ballets. Nous travaillons aussi sur un projet de session de recherche sur le traité Instruction pour dancer, du début XVIIe, qui constitue un maillon important entre la Renaissance et le baroque. Mais une autre entreprise importante, qui devrait bien nous occuper dans les mois qui suivront la fin du programme de recherche sur les traités allemands, ce sera l’édition en ligne de l’Art de bien chanter de Bacilly, édition qui devra être accompagnée de tout un apparat critique et qui est attendue depuis plusieurs décennies. L’initiative première revient à Anne-Madeleine Goulet, qui avait rassemblé autour d’elle une petite équipe, mais à ma grande confusion elles m’ont demandé de coridiger ce projet, et sa réalisation ainsi que la mise en ligne sera assurée par le CESR de Tours, avec l’appui du Centre de Musique Baroque de Versailles. Par ailleurs, nous devons contribuer au programme de recherche sur la reconstitution de la diction noble du français dans le discours public autour de 1700, dont l’initiative revient à Philippe Caron, professeur de linguistique à l’université de Poitiers, et qui a réuni autour de lui des collaborations internationales. Vous voyez donc que nos projets à venir nous orientent vers le théâtre, même si nous n’abandonnons aucunement la danse, pour laquelle nous méditons encore d’autres projets.
Interview de Sabine Chaouche
Interview de Sabine Chaouche
Publications: Annales de l'Association
N° 1, juin 2005 :
Arlequin danseur au tournant du XVIIIe siècle, Atelier-rencontre et recherche, Nantes, 14-15 mai 2004
Un volume A4 de 138 pages accompagné d’un CD vidéo de 40 mn lisible sur un lecteur DVD de salon.
21 € port inclus.
N° 2, mars 2007 :
La prononciation du français dans la poésie, le chant et la déclamation, Rencontre de recherche, Tours, 30 mai 2005
Fichier PDF (721 Ko) téléchargeable gratuitement sur le site http://acras17-18.org
Publication papier : une brochure A4 de 88 pages.
12 € port inclus.
N° 3, juin 2008 :
Marie Sallé, danseuse du XVIIIe siècle, Esquisses pour un nouveau portrait, Atelier-rencontre et recherche, Nantes, 19 et 20 juin 2007
Un volume A4 de 98 pages accompagné d’un DVD de 67 mn.
23 € port inclus.
N° 4, juin 2010 :
Restitution et création dans la remise en spectacle des oeuvres des XVIIe et XVIIIe siècles, Actes du colloque international, Versailles, 29 mai, Nantes, 30-31 mai 2008.
Prochainement téléchargeable gratuitement en fichier PDF sur le site http://acras17-18.org
Envoyé sur demande adressée à spectacles17e18e@gmail.com
Publication papier : une brochure A4 de 284 pages.
25 €.
À paraître :
N° 5 :
Bacilly et les Remarques curieuses sur l’art de bien chanter, Journée d’étude du 28 novembre 2008, Centre d’Études Supérieures de la Renaissance (Tours).
N° 6 :
Le corps dans la mise en spectacle des oeuvres des XVIIe et XVIIIe siècles : Maintien, mouvement et geste des comédiens, chanteurs et danseurs Atelier-rencontre et recherche, Versailles-Nantes, 18-20 mai 2009.
Arlequin danseur au tournant du XVIIIe siècle, Atelier-rencontre et recherche, Nantes, 14-15 mai 2004
Un volume A4 de 138 pages accompagné d’un CD vidéo de 40 mn lisible sur un lecteur DVD de salon.
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N° 2, mars 2007 :
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N° 4, juin 2010 :
Restitution et création dans la remise en spectacle des oeuvres des XVIIe et XVIIIe siècles, Actes du colloque international, Versailles, 29 mai, Nantes, 30-31 mai 2008.
Prochainement téléchargeable gratuitement en fichier PDF sur le site http://acras17-18.org
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Bacilly et les Remarques curieuses sur l’art de bien chanter, Journée d’étude du 28 novembre 2008, Centre d’Études Supérieures de la Renaissance (Tours).
N° 6 :
Le corps dans la mise en spectacle des oeuvres des XVIIe et XVIIIe siècles : Maintien, mouvement et geste des comédiens, chanteurs et danseurs Atelier-rencontre et recherche, Versailles-Nantes, 18-20 mai 2009.
Publications: Bilbliothèque de l'Association
Jean HINDRET, L’Art de prononcer parfaitement la langue françoise (1696)
Reproduction de l’exemplaire de la Bibliothèque Universitaire de Lausanne.
Version CD seul : 32 € plus port (France : 5,50 € ; Union Européenne et Suisse : 4 € ; autres pays : 5,50 €).
L’exemplaire papier seul : 42 € plus port (France : 6,70 €).
L’exemplaire papier avec le CD : 49 € plus port (mêmes tarifs que l’exemplaire papier seul).
Giovanni BONIFACIO, L’Arte de’ Cenni (Vicenza, 1616).
Reproduction de l’exemplaire de la Biblioteca Nazionale Marciana.
Un volume A4 de 328 pages (deux pages de l’original sur une page du volume).
49 €, port inclus.
À paraître :
LA NOUE, Le Dictionnaire des rimes françoises (éd. de 1596).
10, rue Meslée, F – 45170 VILLEREAU (France)
http://acras17-18.org
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Arlequin danseur au tournant du XVIIIe siècle
La prononciation du français dans la poésie, le chant et la déclamation
Marie Sallé, danseuse du XVIIIe siècle, Esquisses pour un nouveau portrait
Restitution et création dans la remise en spectacle des oeuvres des XVIIe et XVIIIe siècles
Jean Hindret, L’Art de prononcer parfaitement la langue françoise (1696) :
Papier CD Papier + CD
Giovanni BONIFACIO, L’Arte de’ Cenni (prix souscription)
Règlement à l’ordre de Association pour un Centre de Recherche
sur les Arts du Spectacle aux XVIIe et XVIIIe siècles,
10, rue Meslée, F – 45170 VILLEREAU (France)
Pour les règlements internationaux, prière de nous consulter.
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sur les Arts du Spectacle aux XVIIe et XVIIIe siècles,
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