(c) David Crespin.
INFORMATIONS PRATIQUES
Représentations au Théâtre La Vista - Montpellier :
- Mercredi 22 juin 2011 à 21h
- Jeudi 23 juin 2011 à 21h
- Samedi 25 juin 2011 à 21h
Renseignements et réservations :
Théâtre La Vista
42 rue Adam de Craponne
34000 Montpellier
Téléphone : 04 67 58 90 90
Tarifs : Plein : 12 €
C.E, âge d’or : 9€
Habitants du quartier : 8€
Réduit (enfants de moins de 12 ans, lycéens, étudiants, demandeurs d’emploi) : 7€
Durée du spectacle :
1 heure 40
CONTACT
Machine Théâtre
Laetitia Hebting ou Céline Baumann
5 rue de la raffinerie
34 000 Montpellier
Tel : 04.67.06.57.34 / 06.71.65.90.66
Mail : contact@machinetheatre.com
Web : www.machinetheatre.com
PROCHAINES DATES
Représentations au Théâtre La Vista - Montpellier :
- Mercredi 22 juin 2011 à 21h
- Jeudi 23 juin 2011 à 21h
- Samedi 25 juin 2011 à 21h
Renseignements et réservations :
Théâtre La Vista
42 rue Adam de Craponne
34000 Montpellier
Téléphone : 04 67 58 90 90
Tarifs : Plein : 12 €
C.E, âge d’or : 9€
Habitants du quartier : 8€
Réduit (enfants de moins de 12 ans, lycéens, étudiants, demandeurs d’emploi) : 7€
Durée du spectacle :
1 heure 40
CONTACT
Machine Théâtre
Laetitia Hebting ou Céline Baumann
5 rue de la raffinerie
34 000 Montpellier
Tel : 04.67.06.57.34 / 06.71.65.90.66
Mail : contact@machinetheatre.com
Web : www.machinetheatre.com
PROCHAINES DATES
DISTRIBUTION
Mise en scène : Nicolas Oton, assistée de Christelle Glize
Avec : Ludivine Bluche, Brice Carayol, Laurent Dupuy, Franck Ferrara, Patrick Mollo, Nicolas Oton, Patrick Oton, Thomas Trigeaud
Création lumières : Adrien Cordier
Régie lumières : Thomas Clément de Givry
Régie son : Félix Badrot-Nico
Costumes : Christelle Glize
Administration : Laetitia Hebting
Chargée de communication : Céline Baumann
Production Machine Théâtre
Coproduction CROUS de Montpellier
Machine Théâtre est conventionnée par le Ministère de la Culture / DRAC LR
Avec le soutien du Conseil Régional LR, du Conseil Général de l’Hérault, de la Ville de Montpellier
CREATION ET DIFFUSION
Du 10 au 20 mars 2005 au Théâtre des Arceaux (Montpellier)
Les 28 et 29 juin 2005 au Printemps des Comédiens (Montpellier)
Les 13 et 14 janvier 2006 au Cratère - Scène Nationale d’Alès
Les 9 et 10 février 2006 au Théâtre du Quaternaire (Nîmes)
Du 2 au 10 mai 2006 au Théâtre des Arceaux (Montpellier)
Du 9 au 10 novembre 2006 au Théâtre de la Maison du Peuple de Millau
Le 3 mai 2007 au Théâtre de Mende
Du 6 au 8 juillet 2007 au Festival de la Cité de Lausanne (Suisse)
Le 5 décembre 2008 à l’Espace Cathare de Quillan (ATP Aude)
Le 6 décembre 2008 au Théâtre Na Loba de Pennautier (ATP Aude)
Du 22 au 25 juin 2011 au Théâtre de la Vista (Montpellier)
Du 8 au 31 juillet 2011 à l’Adresse - Festival Avignon Off
Le 5 août 2011 au Festival Remise à Neuf (St Jean de la Blaquière)
Mise en scène : Nicolas Oton, assistée de Christelle Glize
Avec : Ludivine Bluche, Brice Carayol, Laurent Dupuy, Franck Ferrara, Patrick Mollo, Nicolas Oton, Patrick Oton, Thomas Trigeaud
Création lumières : Adrien Cordier
Régie lumières : Thomas Clément de Givry
Régie son : Félix Badrot-Nico
Costumes : Christelle Glize
Administration : Laetitia Hebting
Chargée de communication : Céline Baumann
Production Machine Théâtre
Coproduction CROUS de Montpellier
Machine Théâtre est conventionnée par le Ministère de la Culture / DRAC LR
Avec le soutien du Conseil Régional LR, du Conseil Général de l’Hérault, de la Ville de Montpellier
CREATION ET DIFFUSION
Du 10 au 20 mars 2005 au Théâtre des Arceaux (Montpellier)
Les 28 et 29 juin 2005 au Printemps des Comédiens (Montpellier)
Les 13 et 14 janvier 2006 au Cratère - Scène Nationale d’Alès
Les 9 et 10 février 2006 au Théâtre du Quaternaire (Nîmes)
Du 2 au 10 mai 2006 au Théâtre des Arceaux (Montpellier)
Du 9 au 10 novembre 2006 au Théâtre de la Maison du Peuple de Millau
Le 3 mai 2007 au Théâtre de Mende
Du 6 au 8 juillet 2007 au Festival de la Cité de Lausanne (Suisse)
Le 5 décembre 2008 à l’Espace Cathare de Quillan (ATP Aude)
Le 6 décembre 2008 au Théâtre Na Loba de Pennautier (ATP Aude)
Du 22 au 25 juin 2011 au Théâtre de la Vista (Montpellier)
Du 8 au 31 juillet 2011 à l’Adresse - Festival Avignon Off
Le 5 août 2011 au Festival Remise à Neuf (St Jean de la Blaquière)
(c) David Crespin.
SYNOPSIS
L’histoire est toute simple. Un jeune porcher tombe amoureux d’une princesse. Les deux jeunes tourtereaux se déclarent leur flamme mais le père de la jeune fille veut un mariage digne de son rang.
Il veut marier la princesse au roi voisin un peu vieux, un peu gros et pas beau. Le jeune porcher accompagné de son compagnon va monter un stratagème extraordinaire pour déjouer le royal mariage.
Le Roi nu est une pièce magnifique aux mille tiroirs, aux mille surprises que l’on peut lire et relire avec le même plaisir.
Schwartz y épingle l’autorité, le culte de la personnalité, l’orgueil et l’incommensurable bêtise attachée semble-t-il au pouvoir même. Tournant en ridicule les absurdités de ce pouvoir, de ceux qui le possède ou le convoitent, Schwartz signe également la revanche des sentiments et des âmes simples.
ORIGINE
Evgueni Schwartz constitue dans l’histoire littéraire russe et soviétique un phénomène à part.
Il est l’introducteur d’un genre qui n’a pas de racine profonde avec le monde slave : la fable fantastique dont il emprunta l’esprit et la structure aux conteurs scandinaves et germaniques. Dans le Roi nu, l’humour et la gravité, l’invention et la tension, la tragédie et la farce se mêlent.
Une voix étrange s’élève et s’amplifie pour ne jamais plus vous quitter : la voix d’un poète du rire et des larmes.
Après Platonov de Tchekhov, Torquémada de Victor Hugo, les Enfants du soleil de Maxime Gorki pour les classiques, mais aussi les Pousse-Pions de Marion Aubert, la Compagnie des Hommes d’Edward Bond et Gibiers du temps de Didier Georges Gabily pour les contemporains, nous voilà partis à la découverte de cet auteur unique chez qui le rire est au service de la liberté.
En effet les pièces d’Evgueni Schwartz remettent toujours en question les sociétés autocratiques. Cependant le plus remarquable dans son oeuvre n’est peut être pas dans ce qui nous apparaît aujourd’hui comme la critique d’une époque.
Ce qui fait la richesse du théâtre de Schwartz, et tout particulièrement dans la pièce du Roi nu, c’est qu’au-delà de la dénonciation franche du stalinisme, ce théâtre reste le lieu de l’ambiguïté. C’est cette ambiguïté, cette polyvalence de Schwartz qui lui vaut aujourd’hui de survivre à son époque. On pourrait aujourd’hui encore énumérer les états modernes où le Roi nu ne serait pas qu’un personnage féerique mais bien une réalité incarnée.
« Ni satire politique de la dictature, ni comédie de moeurs bourgeoises, ni conte moral, le théâtre de Schwartz qui est aussi poésie s’élève au-dessus des schémas traditionnels pour rendre compte d’une réalité de tous les temps. »
Simone Sentz
L’histoire est toute simple. Un jeune porcher tombe amoureux d’une princesse. Les deux jeunes tourtereaux se déclarent leur flamme mais le père de la jeune fille veut un mariage digne de son rang.
Il veut marier la princesse au roi voisin un peu vieux, un peu gros et pas beau. Le jeune porcher accompagné de son compagnon va monter un stratagème extraordinaire pour déjouer le royal mariage.
Le Roi nu est une pièce magnifique aux mille tiroirs, aux mille surprises que l’on peut lire et relire avec le même plaisir.
Schwartz y épingle l’autorité, le culte de la personnalité, l’orgueil et l’incommensurable bêtise attachée semble-t-il au pouvoir même. Tournant en ridicule les absurdités de ce pouvoir, de ceux qui le possède ou le convoitent, Schwartz signe également la revanche des sentiments et des âmes simples.
ORIGINE
Evgueni Schwartz constitue dans l’histoire littéraire russe et soviétique un phénomène à part.
Il est l’introducteur d’un genre qui n’a pas de racine profonde avec le monde slave : la fable fantastique dont il emprunta l’esprit et la structure aux conteurs scandinaves et germaniques. Dans le Roi nu, l’humour et la gravité, l’invention et la tension, la tragédie et la farce se mêlent.
Une voix étrange s’élève et s’amplifie pour ne jamais plus vous quitter : la voix d’un poète du rire et des larmes.
Après Platonov de Tchekhov, Torquémada de Victor Hugo, les Enfants du soleil de Maxime Gorki pour les classiques, mais aussi les Pousse-Pions de Marion Aubert, la Compagnie des Hommes d’Edward Bond et Gibiers du temps de Didier Georges Gabily pour les contemporains, nous voilà partis à la découverte de cet auteur unique chez qui le rire est au service de la liberté.
En effet les pièces d’Evgueni Schwartz remettent toujours en question les sociétés autocratiques. Cependant le plus remarquable dans son oeuvre n’est peut être pas dans ce qui nous apparaît aujourd’hui comme la critique d’une époque.
Ce qui fait la richesse du théâtre de Schwartz, et tout particulièrement dans la pièce du Roi nu, c’est qu’au-delà de la dénonciation franche du stalinisme, ce théâtre reste le lieu de l’ambiguïté. C’est cette ambiguïté, cette polyvalence de Schwartz qui lui vaut aujourd’hui de survivre à son époque. On pourrait aujourd’hui encore énumérer les états modernes où le Roi nu ne serait pas qu’un personnage féerique mais bien une réalité incarnée.
« Ni satire politique de la dictature, ni comédie de moeurs bourgeoises, ni conte moral, le théâtre de Schwartz qui est aussi poésie s’élève au-dessus des schémas traditionnels pour rendre compte d’une réalité de tous les temps. »
Simone Sentz
NOTE DE MISE EN SCENE
J’ai choisi Le Roi nu comme une gourmandise. J’ai toujours eu envie de goûter tous les plats qu’il y avait sur les tables et aujourd’hui grâce à cet auteur qui est l’un des plus grands dramaturges soviétiques, nous nous régalons de son théâtre dit « de farce ».
Schwartz notait « les possibilités infinies que le conte offre à l’écrivain désireux de parler de son temps » et précisait « si l’on voulait comparer le conte à quelque chose, il faudrait le comparer à une expérimentation scientifique de physique ou de chimie. L’expérimentateur qui désire prouver telle ou telle hypothèse isole son objet et le place dans des conditions artificielles spécialement conçues pour l’expérimentation. Ces conditions confirment alors de la façon la plus évidente le caractère inéluctable de la loi générale. Le monde du conte, le monde fantastique constitue ce milieu créé artificiellement. »
Cette expérimentation nous montre l’homme aux prises avec le pouvoir, avec la société, avec lui-même. L’interaction du fantastique et du réel créé des situations absolument invraisemblables, tantôt burlesques, tantôt graves. Mais à partir de ces situations les comportements non moins étranges des personnages apparaissent comme typiques de l’homme en tant qu’individu social : la relation quasi magique que ceux-ci entretiennent avec le réel fantastique permet de faire éclater leur cohérence intérieure, de briser leur logique.
Le fantastique, le paradoxal, le contradictoire, cessent d’être inquiétants ou surprenants pour agir comme révélateur de la nature idéologique des comportements. Cette fonction du fantastique qui permet la manifestation tangible, évidente et vivante du paradoxal et du contradictoire au sein du réel, est une source de plaisir proprement théâtral qui se réalise pleinement dans le dialogue.
Le langage est donc au centre de la pièce. C’est lui qui focalise l’intention. La parole précède la pensée et entraîne des situations invraisemblables. Il faut que les acteurs prennent le texte comme une véritable partition de musique. Trop c’est trop, pas assez n’est pas assez. La vitesse du texte, son impact, son déclenchement, les réactions ou non qu’il suscite, tout cela est à la seconde près.
Il n’y a pas de psychologie. Juste une envie de renouer avec la virtuosité du jeu, le théâtre pur. Sur le plateau on ne peut hésiter, on ne peut jouer deux choses à la fois, ce théâtre n’est pas un théâtre de l’improvisation pourtant il faut que le spectateur ressente une « impression d’improvisation ».
Reste donc l’inventivité, la tenue des corps, différents regards, c’est à dire la technique, la technique et encore la technique.
Il y a en effet chez Evgueni Schwartz une véritable mécanique du rire et de l’action.
Nicolas Oton
« Les lois de la réalité du conte diffèrent des lois de la vie de tous les jours, mais ce sont malgré tout des lois, et des lois très strictes. Les événements qui se produisent dans l’univers du conte ont beaucoup d’éclat et l’éclat est une propriété des plus efficaces du théâtre. C’est pourquoi les formes du conte doivent avoir au théâtre une force de conviction toute particulière. »
E. Schwartz
EVGUENI SCHWARTZ
Evguéni Schwartz naît à Kazan le 21 octobre 1896 où son père est médecin. En 1914, il vient à Moscou pour y étudier le droit mais il abandonne l’université en 1917. Il se consacre dès lors au théâtre et fonde une troupe avec des camarades. En 1921, la troupe se transporte à Leningrad mais se dissout bientôt pour des raisons financières, malgré les succès obtenus. Après avoir joué dans d’autres théâtres, Schwartz commence une activité de journaliste, de dramaturge et se consacre surtout à la littérature enfantine. De 1925 à 1954, il écrit une douzaine de pièces pour enfants en forme de contes et des pièces pour marionnettes. Dès 1934, il utilise cette même forme pour s’adresser aux adultes. Trois de ses oeuvres qui traitent du pouvoir lui valent des ennuis : Le Roi nu est interdit par les autorités soviétiques avant même sa création ; même sort pour L’Ombre. Schwartz, qui a participé en 1941 à la défense de Leningrad (il sera plus tard décoré d’une médaille) est évacué de la ville assiégée par les Allemands. Il s’installe à Diouchambé, capitale du Tadjikistan où il retrouve la troupe de la Comédie du théâtre de Leningrad, éloignée comme lui des zones d’opérations militaires. Il reprend l’écriture du Dragon, commencée avant la guerre et qu’il avait abandonnée. La pièce, créée en 1944, est interdite après la première représentation. Schwartz garde le silence pendant 10 ans. Il revient à la scène avec un conte pour enfants, il écrit encore deux pièces pour adultes. Atteint d’une grave maladie cardiaque, il meurt en 1958.
J’ai choisi Le Roi nu comme une gourmandise. J’ai toujours eu envie de goûter tous les plats qu’il y avait sur les tables et aujourd’hui grâce à cet auteur qui est l’un des plus grands dramaturges soviétiques, nous nous régalons de son théâtre dit « de farce ».
Schwartz notait « les possibilités infinies que le conte offre à l’écrivain désireux de parler de son temps » et précisait « si l’on voulait comparer le conte à quelque chose, il faudrait le comparer à une expérimentation scientifique de physique ou de chimie. L’expérimentateur qui désire prouver telle ou telle hypothèse isole son objet et le place dans des conditions artificielles spécialement conçues pour l’expérimentation. Ces conditions confirment alors de la façon la plus évidente le caractère inéluctable de la loi générale. Le monde du conte, le monde fantastique constitue ce milieu créé artificiellement. »
Cette expérimentation nous montre l’homme aux prises avec le pouvoir, avec la société, avec lui-même. L’interaction du fantastique et du réel créé des situations absolument invraisemblables, tantôt burlesques, tantôt graves. Mais à partir de ces situations les comportements non moins étranges des personnages apparaissent comme typiques de l’homme en tant qu’individu social : la relation quasi magique que ceux-ci entretiennent avec le réel fantastique permet de faire éclater leur cohérence intérieure, de briser leur logique.
Le fantastique, le paradoxal, le contradictoire, cessent d’être inquiétants ou surprenants pour agir comme révélateur de la nature idéologique des comportements. Cette fonction du fantastique qui permet la manifestation tangible, évidente et vivante du paradoxal et du contradictoire au sein du réel, est une source de plaisir proprement théâtral qui se réalise pleinement dans le dialogue.
Le langage est donc au centre de la pièce. C’est lui qui focalise l’intention. La parole précède la pensée et entraîne des situations invraisemblables. Il faut que les acteurs prennent le texte comme une véritable partition de musique. Trop c’est trop, pas assez n’est pas assez. La vitesse du texte, son impact, son déclenchement, les réactions ou non qu’il suscite, tout cela est à la seconde près.
Il n’y a pas de psychologie. Juste une envie de renouer avec la virtuosité du jeu, le théâtre pur. Sur le plateau on ne peut hésiter, on ne peut jouer deux choses à la fois, ce théâtre n’est pas un théâtre de l’improvisation pourtant il faut que le spectateur ressente une « impression d’improvisation ».
Reste donc l’inventivité, la tenue des corps, différents regards, c’est à dire la technique, la technique et encore la technique.
Il y a en effet chez Evgueni Schwartz une véritable mécanique du rire et de l’action.
Nicolas Oton
« Les lois de la réalité du conte diffèrent des lois de la vie de tous les jours, mais ce sont malgré tout des lois, et des lois très strictes. Les événements qui se produisent dans l’univers du conte ont beaucoup d’éclat et l’éclat est une propriété des plus efficaces du théâtre. C’est pourquoi les formes du conte doivent avoir au théâtre une force de conviction toute particulière. »
E. Schwartz
EVGUENI SCHWARTZ
Evguéni Schwartz naît à Kazan le 21 octobre 1896 où son père est médecin. En 1914, il vient à Moscou pour y étudier le droit mais il abandonne l’université en 1917. Il se consacre dès lors au théâtre et fonde une troupe avec des camarades. En 1921, la troupe se transporte à Leningrad mais se dissout bientôt pour des raisons financières, malgré les succès obtenus. Après avoir joué dans d’autres théâtres, Schwartz commence une activité de journaliste, de dramaturge et se consacre surtout à la littérature enfantine. De 1925 à 1954, il écrit une douzaine de pièces pour enfants en forme de contes et des pièces pour marionnettes. Dès 1934, il utilise cette même forme pour s’adresser aux adultes. Trois de ses oeuvres qui traitent du pouvoir lui valent des ennuis : Le Roi nu est interdit par les autorités soviétiques avant même sa création ; même sort pour L’Ombre. Schwartz, qui a participé en 1941 à la défense de Leningrad (il sera plus tard décoré d’une médaille) est évacué de la ville assiégée par les Allemands. Il s’installe à Diouchambé, capitale du Tadjikistan où il retrouve la troupe de la Comédie du théâtre de Leningrad, éloignée comme lui des zones d’opérations militaires. Il reprend l’écriture du Dragon, commencée avant la guerre et qu’il avait abandonnée. La pièce, créée en 1944, est interdite après la première représentation. Schwartz garde le silence pendant 10 ans. Il revient à la scène avec un conte pour enfants, il écrit encore deux pièces pour adultes. Atteint d’une grave maladie cardiaque, il meurt en 1958.
(c) David Crespin.
CE QUE LA PRESSE EN A DIT
« Avec le Roi Nu, farce philosophique burlesque autour de la tyrannie, la compagnie française Machine Théâtre déploie tout un arsenal comique, kitsch et déjanté qui a suscité l’hilarité à la Cour des Druides. Bourré d’énergie et d’insolence, le Roi Nu joue de l’extrême bouffonnerie et crée, en deux coups de cuillère d’absurde, du grand art burlesque. (…) Menée tambour battant par Machine Théâtre, cette farce met le rire au service de la liberté. »
24 heures - juillet 2007
« C’est à une farce vibrionnante sur le pouvoir, dans une ambiance de folie et de fantastique, que l’équipe de Machine Théâtre nous convie. Une douzaine de jeunes comédiens inventifs et énergiques racontent, sans temps mort, l’histoire toute simple d’u porcher malin qui veut épouser une princesse émotive. »
Journal de Millau - novembre 2006
« Crée en 2005, le roi Nu à la sauce de la compagnie Machine Théâtre est une mécanique tourbillonnante d’humour, de virtuosité et de burlesque, balayant le monde du réel avec un bel engagement. (…) Dans une interaction permanente entre fantastique et réel, la parole précède la pensée pour intensifier les situations invraisemblables. »
Midi Libre Montpellier - mai 2006
« Le jeu est physique, violent, fou d’énergie et d’engagement. La tribu du Machine Théâtre n’est pas faite de petits joueurs, ni joueuse (…). Il y a là sur le plateau sur le plan incliné et entre les palissades où tout se passe, du talent à étourdir. Amusé par la satire et le jeu, le spectacle se régale, emporté dans ce tourbillon virtuose, foisonnant et hilarant. »
Midi Libre Nîmes - février 2006
« Libérés de toute censure, le metteur en scène, Nicolas Oton et les jeunes comédiens de Machine Théâtre, tous issus du conservatoire national d’art dramatique de Montpellier s’en donnent à coeur joie, pour notre plus grand plaisir ! »
Midi Libre Alès - janvier 2006
« Machine Théâtre réunit onze jeunes comédiens à l’énergie débordante, issus du Conservatoire National de Montpellier. Tous, ils sont habités par cette envie de jouer et de partager le plaisir de la découverte théâtrale. Le Roi nu est une oeuvre jubilatoire, insolente, drôle, un éclat de rire du début à la fin. »
La Marseillaise - janvier 2006
« Cette pièce mérite le détour et possède la magie de vous faire oublier, l’instant d’une soirée, le reste du monde et ses soucis, pour vous faire travailler la majeure partie des muscles de votre visage tant les comédiens vous entraîneront avec eux dans cette aventure burlesque. »
La Gazette économique et culturelle - juillet 2005
MACHINE THEATRE
En 2001 en formation au conservatoire de Montpellier, nous décidons de reprendre un travail dirigé par Christophe Rauck autour du « Théâtre ambulant Chopalovitch » de Lioubomir Simovitch afin d’organiser notre première tournée. Réunis pour cela en association loi 1901, Machine Théâtre voit le jour. Nous sommes électrisés par la force du partage, l’authenticité de la rencontre et l’idée de troupe. Se forge alors l’esprit de la compagnie et cette envie commune d’inviter les poètes au coeur de la cité.
Tchekhov, Gorki, Bond, Pasolini, Schwartz, Salles, Melquiot, Büchner, Bernhard et Shakespeare nous ont ainsi traversés et accompagnés au cours de chacune de nos créations.
Machine Théâtre est une équipe d’acteurs, « un choeur de solistes » qui souhaite promouvoir les oeuvres d’hier et de demain, en cherchant au plus près comment et pourquoi les servir aujourd’hui. N’ayant de cesse de vouloir convoquer l’humain et l’émotion sur scène.
Nous décidons pour cela de mettre le « jeu » au centre de nos préoccupations. La direction d’acteurs étant l’élan vital de nos mises en scène. Attachés à la relation au verbe, il nous faut traquer, creuser, saisir la pensée de l’auteur afin de la faire résonner au plus concret et au plus juste.
Appliquée à l’artisanat et à l’exigence de la répétition, Machine Théâtre aiguise son obsession des rapports humains et de l’histoire des êtres.
Nous sommes animés par la question de la dramaturgie et de l’importance à raconter des histoires.
Nous sommes habités et questionnés par l’impact et l’utilité de nos actes envers un public que nous espérons de plus en plus divers.
Enfin, pour la vitalité et l’émulation de chacun de nos projets nous invitons de nouveaux artistes scénographes, comédiens, éclairagistes, musiciens et dramaturges.
Le théâtre reste et doit rester pour nous un lieu unique, modeste et sacré. Le lieu d’utopies, de combats politiques et de divertissements poétiques.
« Le collectif Machine Théâtre est né en 2001, autour de neuf élèves de l’école. Qui revendiquent «une croyance, par ces temps plutôt individualistes, en l’esprit de troupe en tant que force créatrice». «L’esprit» en question se manifeste par le refus du vedettariat – pas de metteur en scène attitré mais un «porteur de projet», qui change au gré des spectacles –, et par une façon de partager le plateau. »
René Solis - Libération, janvier 2008
Onze ans d’existence. Onze ans, six metteurs en scène ou directeurs d’acteurs, douze spectacles de un à quinze comédiens… spectacles allant du 16ème siècle de Shakespeare à l’an 2000 de Marion Aubert ou de Fabrice Melquiot, en passant par le 20ème siècle de Maxime Gorki ou de Didier-Georges Gabily.
2010 - Platonov d’Anton Tchekhov, mise en scène Nicolas Oton
Le Cratère - Scène Nationale d’Alès
Théâtre des Treize Vents - CDN de Montpellier LR
Le Théâtre - Scène Nationale de Narbonne
Théâtre de l’Archipel de Perpignan
Théâtre de la Maison du Peuple de Millau
2010 - Les Candidats de Sarah Fourage, mise en scène Brice Carayol et Nicolas Oton
Le Cratère - Scène Nationale d’Alès
Lycée Jacques Prévert (Alès) dans le cadre d’Artist’In Lycée
2008 - Diptyque > Désertion / Woyzeck de Pauline Sales et d’après Georg Büchner
mise en scène Laurent Dupuy et Céline Massol
Le Cratère - Scène Nationale d’Alès
Théâtre d’O (Montpellier)
Théâtre de Port-Leucate
2007 - Henry VI de William Shakespeare, mise en scène Nicolas Oton
L’Odéon - Théâtre de l’Europe
Le Cratère - Scène Nationale d’Alès
Théâtre des Treize Vents - CDN de Montpellier LR
Théâtre de la Maison du Peuple de Millau
Le Théâtre - Scène Nationale de Narbonne
Théâtre de Perpignan
MJC de Rodez
Sortie-Ouest (Béziers)
Théâtre de Carcassonne - ATP de l’Aude
ATP d’Uzès
2006 - L’Inattendu de Fabrice Melquiot, mise en scène Christelle Glize
Théâtre des Arceaux (Montpellier)
2005 - De nos jours, les Saintes Vierges ne versent plus de larmes d’après Porcherie et Affabulazione de Pier Paolo Pasolini, mise en scène Céline Massol
TNT - Bordeaux
Le Cratère - Scène Nationale d’Alès
Festival des Identiterres (Sigean - 11)
Festival Avignon 06
Ateliers Berthier - Théâtre de l’Odéon (Paris)
Théâtre des Treize Vents - CDN de Montpellier LR
Théâtre des Arceaux
2005 - Le Roi nu d’Evgueni Schwartz, mise en scène Nicolas Oton
Festival de la Cité de Lausanne (Suisse)
Théâtre de Mende
Théâtre de la Maison du Peuple (Millau)
Le Cratère - Scène Nationale d’Alès
Le Quaternaire (Nîmes)
Printemps des Comédiens (Montpellier)
Théâtre des Arceaux
2004 - Gibiers du temps : extraits de Didier-Georges Gabily, mise en scène Céline Massol
Théâtre des Arceaux
2004 - La Compagnie des hommes d’Edward Bond, mise en scène Alexandre Morand
Théâtre des Arceaux
Le Chai du Terral (Saint Jean de Védas - 34)
Festival de la Cité de Lausanne
2003 - Les Enfants du soleil de Maxime Gorki, mise en scène Alexandre Morand
Théâtre des Arceaux
Le Chai du Terral (Saint Jean de Védas)
La Cigalière (Sérignan - 34)
Théâtre J.P Cassel (Grau-du-Roi)
2002 - Les Pousse-Pions de Marion Aubert, mise en scène Anne Martin
Festival Oktobre des écritures contemporaines - CDN de Montpellier
Théâtre du Périscope (Nîmes)
Théâtre d’O (Montpellier)
Théâtre de Saint Gaudens (31)
2001 - Chopalovitch d'après Lioubomir Simovitch, mise en espace Christophe Rauck
Printemps des Comédiens
Tournée d'été (Condom, Fleurance, Lectoure (32), Saint Gaudens (31), Thézan-les-Béziers (34)
Festival Paroles et Papilles (Mèze - 34)
Festival de Villeneuve en Scène (Festival Off d'Avignon)
Tournée organisée par l’Itinéraire du Théâtre et du Cirque en Languedoc-Roussillon
Théâtre de Millau (ATP de l’Aveyron)
Théâtre d’Arles
« Avec le Roi Nu, farce philosophique burlesque autour de la tyrannie, la compagnie française Machine Théâtre déploie tout un arsenal comique, kitsch et déjanté qui a suscité l’hilarité à la Cour des Druides. Bourré d’énergie et d’insolence, le Roi Nu joue de l’extrême bouffonnerie et crée, en deux coups de cuillère d’absurde, du grand art burlesque. (…) Menée tambour battant par Machine Théâtre, cette farce met le rire au service de la liberté. »
24 heures - juillet 2007
« C’est à une farce vibrionnante sur le pouvoir, dans une ambiance de folie et de fantastique, que l’équipe de Machine Théâtre nous convie. Une douzaine de jeunes comédiens inventifs et énergiques racontent, sans temps mort, l’histoire toute simple d’u porcher malin qui veut épouser une princesse émotive. »
Journal de Millau - novembre 2006
« Crée en 2005, le roi Nu à la sauce de la compagnie Machine Théâtre est une mécanique tourbillonnante d’humour, de virtuosité et de burlesque, balayant le monde du réel avec un bel engagement. (…) Dans une interaction permanente entre fantastique et réel, la parole précède la pensée pour intensifier les situations invraisemblables. »
Midi Libre Montpellier - mai 2006
« Le jeu est physique, violent, fou d’énergie et d’engagement. La tribu du Machine Théâtre n’est pas faite de petits joueurs, ni joueuse (…). Il y a là sur le plateau sur le plan incliné et entre les palissades où tout se passe, du talent à étourdir. Amusé par la satire et le jeu, le spectacle se régale, emporté dans ce tourbillon virtuose, foisonnant et hilarant. »
Midi Libre Nîmes - février 2006
« Libérés de toute censure, le metteur en scène, Nicolas Oton et les jeunes comédiens de Machine Théâtre, tous issus du conservatoire national d’art dramatique de Montpellier s’en donnent à coeur joie, pour notre plus grand plaisir ! »
Midi Libre Alès - janvier 2006
« Machine Théâtre réunit onze jeunes comédiens à l’énergie débordante, issus du Conservatoire National de Montpellier. Tous, ils sont habités par cette envie de jouer et de partager le plaisir de la découverte théâtrale. Le Roi nu est une oeuvre jubilatoire, insolente, drôle, un éclat de rire du début à la fin. »
La Marseillaise - janvier 2006
« Cette pièce mérite le détour et possède la magie de vous faire oublier, l’instant d’une soirée, le reste du monde et ses soucis, pour vous faire travailler la majeure partie des muscles de votre visage tant les comédiens vous entraîneront avec eux dans cette aventure burlesque. »
La Gazette économique et culturelle - juillet 2005
MACHINE THEATRE
En 2001 en formation au conservatoire de Montpellier, nous décidons de reprendre un travail dirigé par Christophe Rauck autour du « Théâtre ambulant Chopalovitch » de Lioubomir Simovitch afin d’organiser notre première tournée. Réunis pour cela en association loi 1901, Machine Théâtre voit le jour. Nous sommes électrisés par la force du partage, l’authenticité de la rencontre et l’idée de troupe. Se forge alors l’esprit de la compagnie et cette envie commune d’inviter les poètes au coeur de la cité.
Tchekhov, Gorki, Bond, Pasolini, Schwartz, Salles, Melquiot, Büchner, Bernhard et Shakespeare nous ont ainsi traversés et accompagnés au cours de chacune de nos créations.
Machine Théâtre est une équipe d’acteurs, « un choeur de solistes » qui souhaite promouvoir les oeuvres d’hier et de demain, en cherchant au plus près comment et pourquoi les servir aujourd’hui. N’ayant de cesse de vouloir convoquer l’humain et l’émotion sur scène.
Nous décidons pour cela de mettre le « jeu » au centre de nos préoccupations. La direction d’acteurs étant l’élan vital de nos mises en scène. Attachés à la relation au verbe, il nous faut traquer, creuser, saisir la pensée de l’auteur afin de la faire résonner au plus concret et au plus juste.
Appliquée à l’artisanat et à l’exigence de la répétition, Machine Théâtre aiguise son obsession des rapports humains et de l’histoire des êtres.
Nous sommes animés par la question de la dramaturgie et de l’importance à raconter des histoires.
Nous sommes habités et questionnés par l’impact et l’utilité de nos actes envers un public que nous espérons de plus en plus divers.
Enfin, pour la vitalité et l’émulation de chacun de nos projets nous invitons de nouveaux artistes scénographes, comédiens, éclairagistes, musiciens et dramaturges.
Le théâtre reste et doit rester pour nous un lieu unique, modeste et sacré. Le lieu d’utopies, de combats politiques et de divertissements poétiques.
« Le collectif Machine Théâtre est né en 2001, autour de neuf élèves de l’école. Qui revendiquent «une croyance, par ces temps plutôt individualistes, en l’esprit de troupe en tant que force créatrice». «L’esprit» en question se manifeste par le refus du vedettariat – pas de metteur en scène attitré mais un «porteur de projet», qui change au gré des spectacles –, et par une façon de partager le plateau. »
René Solis - Libération, janvier 2008
Onze ans d’existence. Onze ans, six metteurs en scène ou directeurs d’acteurs, douze spectacles de un à quinze comédiens… spectacles allant du 16ème siècle de Shakespeare à l’an 2000 de Marion Aubert ou de Fabrice Melquiot, en passant par le 20ème siècle de Maxime Gorki ou de Didier-Georges Gabily.
2010 - Platonov d’Anton Tchekhov, mise en scène Nicolas Oton
Le Cratère - Scène Nationale d’Alès
Théâtre des Treize Vents - CDN de Montpellier LR
Le Théâtre - Scène Nationale de Narbonne
Théâtre de l’Archipel de Perpignan
Théâtre de la Maison du Peuple de Millau
2010 - Les Candidats de Sarah Fourage, mise en scène Brice Carayol et Nicolas Oton
Le Cratère - Scène Nationale d’Alès
Lycée Jacques Prévert (Alès) dans le cadre d’Artist’In Lycée
2008 - Diptyque > Désertion / Woyzeck de Pauline Sales et d’après Georg Büchner
mise en scène Laurent Dupuy et Céline Massol
Le Cratère - Scène Nationale d’Alès
Théâtre d’O (Montpellier)
Théâtre de Port-Leucate
2007 - Henry VI de William Shakespeare, mise en scène Nicolas Oton
L’Odéon - Théâtre de l’Europe
Le Cratère - Scène Nationale d’Alès
Théâtre des Treize Vents - CDN de Montpellier LR
Théâtre de la Maison du Peuple de Millau
Le Théâtre - Scène Nationale de Narbonne
Théâtre de Perpignan
MJC de Rodez
Sortie-Ouest (Béziers)
Théâtre de Carcassonne - ATP de l’Aude
ATP d’Uzès
2006 - L’Inattendu de Fabrice Melquiot, mise en scène Christelle Glize
Théâtre des Arceaux (Montpellier)
2005 - De nos jours, les Saintes Vierges ne versent plus de larmes d’après Porcherie et Affabulazione de Pier Paolo Pasolini, mise en scène Céline Massol
TNT - Bordeaux
Le Cratère - Scène Nationale d’Alès
Festival des Identiterres (Sigean - 11)
Festival Avignon 06
Ateliers Berthier - Théâtre de l’Odéon (Paris)
Théâtre des Treize Vents - CDN de Montpellier LR
Théâtre des Arceaux
2005 - Le Roi nu d’Evgueni Schwartz, mise en scène Nicolas Oton
Festival de la Cité de Lausanne (Suisse)
Théâtre de Mende
Théâtre de la Maison du Peuple (Millau)
Le Cratère - Scène Nationale d’Alès
Le Quaternaire (Nîmes)
Printemps des Comédiens (Montpellier)
Théâtre des Arceaux
2004 - Gibiers du temps : extraits de Didier-Georges Gabily, mise en scène Céline Massol
Théâtre des Arceaux
2004 - La Compagnie des hommes d’Edward Bond, mise en scène Alexandre Morand
Théâtre des Arceaux
Le Chai du Terral (Saint Jean de Védas - 34)
Festival de la Cité de Lausanne
2003 - Les Enfants du soleil de Maxime Gorki, mise en scène Alexandre Morand
Théâtre des Arceaux
Le Chai du Terral (Saint Jean de Védas)
La Cigalière (Sérignan - 34)
Théâtre J.P Cassel (Grau-du-Roi)
2002 - Les Pousse-Pions de Marion Aubert, mise en scène Anne Martin
Festival Oktobre des écritures contemporaines - CDN de Montpellier
Théâtre du Périscope (Nîmes)
Théâtre d’O (Montpellier)
Théâtre de Saint Gaudens (31)
2001 - Chopalovitch d'après Lioubomir Simovitch, mise en espace Christophe Rauck
Printemps des Comédiens
Tournée d'été (Condom, Fleurance, Lectoure (32), Saint Gaudens (31), Thézan-les-Béziers (34)
Festival Paroles et Papilles (Mèze - 34)
Festival de Villeneuve en Scène (Festival Off d'Avignon)
Tournée organisée par l’Itinéraire du Théâtre et du Cirque en Languedoc-Roussillon
Théâtre de Millau (ATP de l’Aveyron)
Théâtre d’Arles