![Exposition au Musée Cognacq-Jay: LE SIÈCLE D’OR DE L’ÉVENTAIL DU ROI SOLEIL À MARIE-ANTOINETTE Exposition au Musée Cognacq-Jay: LE SIÈCLE D’OR DE L’ÉVENTAIL DU ROI SOLEIL À MARIE-ANTOINETTE](https://www.thefrenchmag.com/photo/art/default/6153306-9192358.jpg?v=1387447480)
Le musée Cognacq-Jay rend hommage à l’excellence des éventaillistes parisiens au XVIIIe siècle et propose à travers 70 pièces exceptionnelles, empruntées à des collections publiques et privées, de redécouvrir un objet mythique, familier et pourtant méconnu.
Fragile, à la fois discret et somptueux, l’éventail est un accessoire emblématique des grâces de l’Ancien régime.
Objet de mode et objet d’art, il allie un savoir-faire artisanal poussé à son ultime perfection et un souci constant de renouvellement au grès des évolutions du goût. Importé d’Asie à la Renaissance, au milieu des cargaisons d’épices et de soies, l’éventail est adopté en France sous le règne de Louis XIV. Une corporation spécifique, celle des éventaillistes, créée en 1676, assure rapidement la domination des artisans français en Europe. Au cours du XVIIIe siècle, Paris devient ainsi la capitale de cet objet aristocratique et artistique dont les décors suivent la production des peintres à la mode (Boucher, Watteau, Lancret mais aussi Le Brun, Coypel, ou Lemoyne) et participent à la diffusion de l’art français en Europe.
Á travers ces objets de raffinement et de distinction sociale, accessoires privilégiés des dames de la haute société, l’exposition propose un panorama historique du XVIIIe siècle français.
Au-delà des fantasmes véhiculés dans l’imaginaire collectif sur un « langage de l’éventail » dans les cercles de la cour, l’exposition montre comment cet accessoire est aussi un outil de communication sociale, au travers notamment les scènes qui y sont figurées.
Le visiteur du musée Cognacq-Jay redécouvre ainsi un objet dont l’excellence artisanale et le raffinement décoratif se combinent à l’intérêt historique.
L’exposition bénéficie des prêts exceptionnels du musée des arts décoratifs de Paris, du musée Carnavalet, du musée de la mode de la Ville de Paris (Palais Galliera), du musée des arts décoratifs de Bordeaux ou encore du château de Laàs (Conseil général des Pyrénées-Atlantiques), du musée des châteaux de Versailles et de Trianon ou encore de la BnF ; ainsi que de nombreux emprunts effectués auprès de prestigieuses collections privées européennes.
Fragile, à la fois discret et somptueux, l’éventail est un accessoire emblématique des grâces de l’Ancien régime.
Objet de mode et objet d’art, il allie un savoir-faire artisanal poussé à son ultime perfection et un souci constant de renouvellement au grès des évolutions du goût. Importé d’Asie à la Renaissance, au milieu des cargaisons d’épices et de soies, l’éventail est adopté en France sous le règne de Louis XIV. Une corporation spécifique, celle des éventaillistes, créée en 1676, assure rapidement la domination des artisans français en Europe. Au cours du XVIIIe siècle, Paris devient ainsi la capitale de cet objet aristocratique et artistique dont les décors suivent la production des peintres à la mode (Boucher, Watteau, Lancret mais aussi Le Brun, Coypel, ou Lemoyne) et participent à la diffusion de l’art français en Europe.
Á travers ces objets de raffinement et de distinction sociale, accessoires privilégiés des dames de la haute société, l’exposition propose un panorama historique du XVIIIe siècle français.
Au-delà des fantasmes véhiculés dans l’imaginaire collectif sur un « langage de l’éventail » dans les cercles de la cour, l’exposition montre comment cet accessoire est aussi un outil de communication sociale, au travers notamment les scènes qui y sont figurées.
Le visiteur du musée Cognacq-Jay redécouvre ainsi un objet dont l’excellence artisanale et le raffinement décoratif se combinent à l’intérêt historique.
L’exposition bénéficie des prêts exceptionnels du musée des arts décoratifs de Paris, du musée Carnavalet, du musée de la mode de la Ville de Paris (Palais Galliera), du musée des arts décoratifs de Bordeaux ou encore du château de Laàs (Conseil général des Pyrénées-Atlantiques), du musée des châteaux de Versailles et de Trianon ou encore de la BnF ; ainsi que de nombreux emprunts effectués auprès de prestigieuses collections privées européennes.
Catalogue
Georgina LETOURMY-BORDIER
José de LOS LLANOS
Préface de Sylvain LE GUEN, éventailliste
168 pages,
188 illustrations couleur
Format : 24 x 16 cm, à l’italienne
Prix 24 €
Date de parution : Novembre 2013
Contact presse : Olivier Fabre
Tél : 03 80 40 41 21
Courriel : olivier-fabre@faton.fr
Éditions FATON
25, rue Berbisey – 21000 Dijon
José de LOS LLANOS
Préface de Sylvain LE GUEN, éventailliste
168 pages,
188 illustrations couleur
Format : 24 x 16 cm, à l’italienne
Prix 24 €
Date de parution : Novembre 2013
Contact presse : Olivier Fabre
Tél : 03 80 40 41 21
Courriel : olivier-fabre@faton.fr
Éditions FATON
25, rue Berbisey – 21000 Dijon